L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Michel Mayoux
N° 4, juillet 1951
- Napoli milionaria d’Eduardo de Filippo p. 51–52
N° 5, septembre 1951
- Cronaca di un amore de Michelangelo Antonioni p. 51–52
- Pension Mimosas de Jacques Feyder p. 56–58
N° 10, mars 1952
- The « Thing » from Another World de Christian Nyby p. 65–66
N° 11, avril 1952
- I Know Where I’m Going de Michael Powell et Emeric Pressburger p. 52–53
N° 12, mai 1952
- Teresa de Fred Zinnemann p. 57–59
- Les Aventures extraordinaires de Jules Verne de Jean Aurel p. 67–68
N° 22, avril 1953
- Le Chevalier à l’étoile d’or d’Iouli Raizman p. 54–55
N° 105, mars 1960
- Le Bel Âge de Pierre Kast p. 49–51