L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Jean Quéval
N° 3, juin 1951
- Édouard et Caroline de Jacques Becker p. 46–48
N° 4, juillet 1951
- Le Rossignol et l’empereur de Chine de Jirí Trnka et Milos Makovec p. 52–53
N° 6, octobre/novembre 1951
- Barbe-Bleue de Christian-Jaque p. 44–46
N° 7, décembre 1951
- The Men de Fred Zinnemann p. 54–55
N° 8, janvier 1952
- Jeannot l’intrépide de Jean Image p. 72
N° 10, mars 1952
- The Galloping Major d’Henry Cornelius p. 63–64
N° 13, juin 1952
- Casque d’or de Jacques Becker p. 71–72
- Scott of Antarctic de Charles Frend p. 74–75
N° 16, octobre 1952
- Hunted de Charles Crichton p. 60
N° 18, décembre 1952
- Colette de Yannick Bellon p. 58