L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Jean-Pierre Vivet
N° 6, octobre/novembre 1951
- Pandora and the Flying Dutchman d’Albert Lewin p. 48–49