L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Jean Breschand
N° 796, mars 2023
- À pas aveugles de Christophe Cognet, Les Suppliques de Jérôme Prieur p. 72–77