L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Jacques Kermabon
N° 770, novembre 2020
- Trains étroitement surveillés, Alouettes, le fil à la patte, Une blonde émoustillante de Jirí Menzel p. 81