L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Jacques Joly
N° 117, mars 1961
- Le Farceur de Philippe de Broca p. 57–58
N° 119, mai 1961
- Cimarron d’Anthony Mann p. 59–60
- Kismet de Vincente Minnelli p. 60–61
N° 120, juin 1961
- Bellissima de Luchino Visconti p. 47–49
N° 121, juillet 1961
- Exodus d’Otto Preminger p. 45–47
- Home from the Hill de Vincente Minnelli p. 52–55