L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Georges Sadoul
N° 51, octobre 1955
- La Cigale de Samson Samsonov p. 15–16
- Gli sbandati de Francesco Maselli p. 16–17