L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
François Mars
N° 75, octobre 1957
- Abandon Ship! de Richard Sale p. 58–59
N° 81, mars 1958
- The Adventures of Hajji Baba de Don Weis p. 55
N° 85, juillet 1958
- A Night at the Opera de Sam Wood p. 51–52
N° 87, septembre 1958
- The Great Dictator de Charles Chaplin p. 56–59
N° 91, janvier 1959
- Taxi, roulotte et corrida d’André Hunebelle, Merry Andrew de Michael Kidd, The Sad Sack de George Marshall p. 68
N° 98, août 1959
- The Last Mile d’Howard W. Koch p. 60
N° 101, novembre 1959
- La Grande Époque de Mack Sennett p. 59
- Never Give a Sucker an Even Break d’Edward Cline p. 59–60
N° 102, décembre 1959
- Signé Arsène Lupin de Yves Robert p. 57–58
N° 104, février 1960
- Pillow Talk de Michael Gordon p. 59–60
N° 109, juillet 1960
- The Bank Dick d’Edward Cline p. 52–54
N° 111, septembre 1960
- When Comedy Was King de Robert Youngson p. 57–59
- Who Was That Lady ? de George Sidney p. 60–61
N° 122, août 1961
- The Bellboy de Jerry Lewis p. 60–61
N° 127, janvier 1962
- Cinderfella de Frank Tashlin p. 61
N° 128, février 1962
- On the Double de Melville Shavelson p. 58–59
N° 140, février 1963
- Harold Lloyd’s World of Comedy de Buster Keaton, The General d’Harold Lloyd p. 55–57
N° 142, avril 1963
- Le Soupirant de Pierre Étaix p. 58
- Il giustiziere dei mari de Domenico Paolella p. 59
N° 144, juin 1963
- It’s Only Money de Frank Tashlin p. 57
N° 148, octobre 1963
- The Man from the Diners’ Club de Frank Tashlin p. 62–64