L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Émmanuel Burdeau
N° 793, décembre 2022
- La Maison d’Anissa Bonnefont p. 61
- Simone, le voyage du siècle d’Olivier Dahan p. 62
- Cluny Brown d’Ernst Lubitsch p. 89