L’art est libre, éhonté, irresponsable [...], le mouvement est intense, presque fébrile, il ressemble me semble-t-il à une peau de serpent pleine de fourmis. Le serpent lui-même est mort depuis longtemps, vidé, privé de son venin, mais la peau bouge, pleine d’une vie diligente.
Claude Mauriac
N° 1, avril 1951
- Les Charmes de l’existence de Jean Grémillon et Pierre Kast p. 54–57